LA BOITE A MERVEILLE (résumé Chapitre par chapitre)

LA BOITE A MERVEILLE

Ahmed Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l'ancienne Médina de Fès। Il menait une vie tranquille auprès de sa mère, femme au foyer, et son père, tisserand।Il a consacré une bonne partie du livre à parler des voisins, des amis de la famille, de leurs habitudes, de leur problèmes et de leur vie quotidienne, et particulièrement de Lalla Aicha, la meilleure amie de sa mère, qui a souffert à cause de son mari ingras।La paisibilité de la vie de cet enfant de six ans fut troublée par la perte de la bourse de son père, une bourse qui contenait tout son capitale। Ce qui obligea le père de la famille à travailler dans les champs pour pouvoir reprendre ton travail।Pendant son absence, la mère et l'enfant visitaient quotidiennement des mausolées pour demander aux saints de leurs rendre le père sain et sauf.Leur vœux fut exaucé un mois après le départ du père, ensuite les choses s'arrangèrent petit à petit.Au milieu de tous ces événements, la boite à merveilles que possédait Sidi Mohammed jouait un rôle très important, elle lui représentait un véritable réconfort quand il avait des ennuies, c'était synonyme d'accès à son propre vie.

Chapitre I
-Dar Chouafa Deux éléments déclenchent le récit : la nuit et la solitude। Le poids de ला solitude।Le narrateur y songe et part à la recherche de ses origines : l’enfance।Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie। Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles। A travers les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires। La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante। La maison porte son nom : Dar Chouafa। On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient d’une seule pièce। Le deuxième étage est partagé avec Fatma Bziouya। L’enfant lui habite un univers de fable et de mystère, nourri par les récits de Abdellah l’épicier et les discours de son père sur l’au-delà। L’enfant de six ans accompagne sa mère au bain maure। Il s’ennuie au milieu des femmes, Cet espace de vapeur, de rumeurs, et d’agitation était pour lui bel et bien l’Enfer। Le chapitre se termine sur une sur une querelle spectaculaire dont les acteurs sont la maman de l’enfant et sa voisine Rahma.

Chapitre II -Visite d’un sanctuaire Au Msid, école coranique, l’enfant découvre l’hostilité du monde et la fragilité de son petit corps। Le regard du Fqih et les coups de sa baguette de cognassier étaient source de cauchemars et de souffrance. A son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que Lalla Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la mère de l’enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L’enfant pourra boire de l’eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa force. L’enfant découvre l’univers du mausolée et ses rituels. Oraisons, prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train train quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées par son commis Driss. La famille depuis un temps ne connaissait plus les difficultés des autres ménages et jouissait d’un certain confort que les autres jalousaient.

Chapitre III: -Le repas des mendiants aveugles Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une occasion pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et c’est une occasion à fêter. On organise un grand repas auquel on convie une confrérie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent à la tâche. Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude et son rythme que le soir. Le printemps

Chapitre IV: -Les ennuis de Lalla Aicha Les premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aîcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et même plus avait prétendu avoir versé la moitié du capital de l’affaire. Les juges s’étaient prononcés en faveur de Abdelkader. L’enfant, lui était ailleurs, dans son propre univers, quand ce n’est pas sa boîte et ses objets magiques, c’est le légendaire Abdellah l’épicier et ses histoires. Personnage qu’il connaît à travers les récits rapportés par son père. Récits qui excitèrent son imagination et l’obsédèrent durant toute son enfance.

Chapitre V : L’école coranique. Journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont quinze jours pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont congé pour le reste de la journée. Lalla Aîcha , en femme dévouée, se dépouille de ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste à ses obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et compte parmi les événements ayant marqué la vie d de l’enfant.

Chapitre VI : Préparatifs de la fête. Les préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande eau. L’enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête approchait et il fallait songer à ses habits pour l’occasion. Il portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma insiste pour voir les achats fait à la Kissaria.Le narrateur est fasciné par son récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé, époux de Lalla Khadija, plus jeune que lui.

Chapitre VII : La fête de l’Achoura. La fête est pour bientôt. Encore deux jours. Les femmes de la maison ont toutes acheté des tambourins de toutes formes. L’enfant lui a droit à une trompette. L’essai des instruments couvre l’espace d’un bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernières touches avant l e grand jour. Les enfants finissent de préparer les lustres. Le lendemain , l’enfant accompagne son père en ville. Ils font le tour des marchands de jouets et ne manqueront pas de passer chez le coiffeur. Chose peu appréciée par l’enfant. Il est là à assister à une saignée et à s’ennuyer des récits du barbier. La rue après est plus belle, plus enchantée. Ce soir là, la maison baigne dans l’atmosphère des derniers préparatifs. Le jour de la fête, on se réveille tôt, Trois heures du matin. L’enfant est habillé et accompagne son père au Msid célébrer ce jour exceptionnel. Récitation du coran, chants de cantiques et invocations avant d’aller rejoindre ses parents qui l’attendaient pour le petit déjeuner. Son père l’emmène en ville. A la fin du repas de midi, Lalla Aicha est là. Les deux femmes passent le reste de la journée à papoter et le soir, quand Lalla Aicha repart chez elle, l’enfant lassé de son tambour et de sa trompette est content de retrouver ses vieux vêtements. L’été.

Chapitre VIII : Les bijoux du malheur। L’ambiance de la fête est loin maintenant et la vie retrouve sa monotonie et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur sont là. L’école coranique quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude pour s’installer dans un sanctuaire proche. L’enfant se porte bien et sa mémoire fait des miracles. Son maître est satisfait de ses progrès et son père est gonflé d’orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu’elle désirait tant. Mais la visite au souk aux bijoux se termine dans un drame. La mère qui rêvait tant de ses bracelets que son mari lui offre, ne songe plus qu’a s’en débarrasser. Ils sont de mauvais augure et causeraient la ruine de la famille. Les ennuis de Lalla Aicha ne sont pas encore finis. Son mari vient de l’abandonner. Il a pris une seconde épouse, la fille de Si Abderahmen, le coiffeur. Si l’enfant se consacre avec assiduité à ses leçons, il rêve toujours autant. Il s’abandonne dans son univers à lui, il est homme, prince ou roi, il fait des découvertes et il en veut à mort aux adultes de ne pas le comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla Aîcha racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué par la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.

Chapitre IX : Un ménage en difficulté। L’état de santé de l’enfant empire. Lalla Zoubida s’occupe de lui nuit et jour. D’autres ennuis l’attendent. Les affaires de son mari vont très mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il part aux moissons et compte économiser de quoi relancer son atelier. L’attente, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux amies frappées par le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi.

Chapitre X : Superstitions। Les conseils , prières et bénédictions de Sidi Al Arafi rassurèrent les deux femmes. L’enfant est fasciné par le voyant aveugle. Lalla Zoubida garde l’enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa présence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont prier sous la coupole d’un saint. Les prédications de Sidi A Arafi se réalisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent et bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida. Elle lui réserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin de la maison.
Chapitre XI : Papotage de bonnes femmes. Thé et papotage de bonnes femmes au menu chez Lalla Aicha. Salama, la marieuse, est là. Elle demande pardon aux deux amies pour le mal qu’elle leur a fait. Elle avait arrangé le mariage de Moulay Larbi. Elle explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle apporte de bonnes nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa jeune épouse et le divorce est pour bientôt. Zhor, une voisine, vient prendre part à la conversation. Elle rapporte une scène de ménage. Le flot des potins et des médisances n’en fint pas et l’enfant lui , qui ne comprenait pas le sens de tous les mots est entraîné par la seule musique des syllabes.

Chapitre XII : Un conte de fée a toujours une chute heureuse। La grande nouvelle est rapportée par Zineb. Maâlem Abdslem est de retour. Toute la maison est agitée. Des you you éclatent sur la terrasse Les voisines font des vœux. L’enfant et sa mère sont heureux . Driss, est arrivé à temps annoncer que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé. La conversation de Driss El Aouad et de Moulay Abdeslem, ponctuée de verres de thé écrase l’enfant. Il est pris de fatigue mais ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa Boite à de dessous son lit, les figures de ses rêves l’y attendaient.

ANTIGONE

Antigone appartient aux légendes attachées à la ville de Thèbes. Elle est l'une des enfants nés de l'union incestueuse du roi de Thèbes Œdipe et de sa propre mère, Jocaste . Antigone est la sœur d'Ismène, d'Etéocle et de Polynice. Elle fait preuve d'un dévouement et d'une grandeur d'âme sans pareils dans la mythologie.

Quand son père est chassé de Thèbes par ses frères et quand, les yeux crevés, il doit mendier sa nourriture sur les routes, Antigone lui sert de guide. Elle veille sur lui jusqu'à la fin de son existence et l'assiste dans ses derniers moments.

Puis Antigone revient à Thèbes. Elle y connaît une nouvelle et cruelle épreuve. Ses frères Etéocle et Polynice se disputent le pouvoir. Ce dernier fait appel à une armée étrangère pour assiéger la ville et combattre son frère Etéocle. Après la mort des deux frères, Créon, leur oncle prend le pouvoir . Il ordonne des funérailles solennelles pour Etéocle et interdit qu'il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d'avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d'étrangers. Ainsi l'âme de Polynice ne connaîtra jamais de repos. Pourtant Antigone, qui considère comme sacré le devoir d'ensevelir les morts, se rend une nuit auprès du corps de son frère et verse sur lui, selon le rite, quelques poignées de terre. Créon apprend d'un garde qu'Antigone a recouvert de poussière le corps de Polynice. On amène Antigone devant lui et il la condamne à mort. Elle est enterrée vive dans le tombeau des Labdacides . Plutôt que de mourir de faim, elle préfère se pendre.

Hémon, fils de Créon et fiancé d'Antigone se suicide de désespoir . Eurydice , l'épouse de Créon ne peut supporter la mort de ce fils qu'elle adorait et met fin elle aussi à ses jours.

La pièce de Sophocle (441 avant Jésus-Christ) commence lorsqu'Antigone décide de braver l'interdiction de son oncle Créon et d'ensevelir le corps de son frère Polynice.

C'est de ce texte de Sophocle que va s'inspirer Anouilh pour écrire Antigone en 1942 : " l'Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre , le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon , avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre".

Cette pièce , créée en 1944, connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon . Ses défenseurs , au contraire , voient dans Antigone la "première résistante de l'histoire" et dans la pièce un plaidoyer pour l'esprit de révolte.
Antigone est l'une des enfants nés de l'union incestueuse du roi de Thèbes Oedipe et de sa propre mère, Jocaste.

Antigone soeur d'Ismène, d'Etéocle et de Polynice fait preuve d'un dévouement et d'une grandeur d'âme sans pareils dans la mythologie.

Son père est chassé de Thèbes par ses frères qui lui ont crvés les yeux, elle le suit pour lui servir de guide sur les routes car il doit mendier sa nourriture.

Antigone veillera sur lui jusqu'à la fin de ses jours.

Elle revient à Thèbes. Ses frères Etéocle et Polynice se disputent le pouvoir. Polynice fait appel à une armée étrangère pour assiéger la ville et combattre son frère.

Mais les deux frères meurent et Créon, leur oncle prend le pouvoir . Il ordonne des funérailles solennelles pour Etéocle et interdit qu'il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d'avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d'étrangers.

Créon veut laisser l'âme de Polynice dans la tourmente.


Mais Antigone considère sacré le devoir d'ensevelir les morts, aussi elle se rend une nuit auprès du corps de son frère et verse sur lui, quelques poignées de terre.

Créon apprend le geste d'Antigone et il la condamne à mort. Elle est enterrée vive dans le tombeau des Labdacides. Plutôt que de mourir de faim, elle préfère se pendre.

Le fiancé d'Antigone Hémon, qui n'est autre que le fils de Créon, à la nouvelle du décès de celle-ci se suicide.

La mère de Hémon, épouse de Créon, ne peut supporter la mort de son fils et se donne la mort.

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE (Résumé Chapitre par chapitre)

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE

:résumé compléte
Dans la prison de Bicêtre,un condamné à mort ( le narrateur) attend le jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensées.Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa cellule ( chapitre 10/12 ). Il évoque ensuite le départ des forçats au bagne de Toulon ( chap 13/15 ). Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme à l'infirmerie ( chapitre 16 ) .Désespéré, il décide alors de s'évader ( chapitre17). on vient lui apprendre que son exécution aura lieu le jour même.( chapitre 18/19 ).
Le narrateur sera transféré ensuite à la concièrgerie ( chap 22) , il y rencontre un autre condamné à mort ( chap 23/24). Son séjour en prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande commenet on meurt sous la guillotine. ( chap 27). Il rçoit après la visite d'un prêtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son état. ( chap30)
La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément.
Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se dresse l'échaffaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il sait déja que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné
Bref, l'oeuvre peut être divisée en trois parties relatives à trois lieux différents: Bicêtre, la conciiergerie et l'hôtel de ville:
-Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson.
-La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec un autre condamné à mort puis avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie.
-L'Hôtel de Ville : le voyage à Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de
Grève où est installé l'échafaud


RESUME
Chapitre par chapitre

CHAPITRE1
Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l'idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d'une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l'impossibilité de penser à autre chose.

CHAPITRE2
De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.

CHAPITRE3
Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.

CHAPITRE4
Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.

CHAPITRE5
Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l'argot pratiqué en prison.

CHAPITRE6
Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D'abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s'agit de condamner quelqu'un à mort. C'est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale.

CHAPITRE7
Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d'autre têtes alors qu'il ne peut sauver la sienne.

CHAPITRE8
Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.

CHAPITRE9
Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu'il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C'est pour cette dernière qu'il s'inquiète le plus
.
CHAPITRE10
Le condamné nous décrit son cachot qui n'a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.

CHAPITRE11
Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d'inscriptions, traces laissées par d'autres prisonniers. L'image de l'échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.

CHAPITRE12
Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.

CHAPITRE13
Le narrateur- personnage se rappelle d'un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.

CHAPITRE14
Quand il revient à lui, il se trouve dans l'infirmerie. D'une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.

CHAPITRE15
Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l'infirmerie mais voilà qu'il est repris par l'idée de la mort qu'il pense à s'évader.

CHAPITRE16
Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l'infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu'il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.

CHAPITRE17
Il pense encore à s'évader. Il s'imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s'embarquer vers l'Angleterre mais voilà qu'un gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé

CHAPITRE18
Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu'il désire à manger.

CHAPITRE19
Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.

CHAPITRE20
Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu'il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers...

CHAPITRE21
Le condamné reçoit deux visites. D'abord celle du prêtre et puis celle de l'huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.

CHAPITRE22
Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l'huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.

CHAPITRE23
L'huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un le condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d'un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s'empare de sa redingote .

CHAPITRE24
Le narrateur est enragé parce que l'autre condamné lui a pris sa redingote.

CHAPITRE25
Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu'il faut pour écrire et un lit.

CHAPITRE26
Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.
CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud.

CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.

CHAPITRE29
Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu'un jour la grâce arrive.

CHAPITRE30
Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d'apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.

CHAPITRE31
Le narrateur est surpris de voir un monsieur prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.

CHAPITRE32
Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bon numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s'évader.

CHAPITRE33
Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d'enfance et de jeunesse.Il s'arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d'été.

CHAPITRE34
Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l'autre ( sa victime) et le sien( le coupable)

CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à mener leur vie le plus normalement au monde.

CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)

CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l'hôtel de ville.

CHAPITRE38
Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.

CHAPITRE39
On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l'affirmer.

CHAPITRE40
Le jeune détenu pense au roi. C'est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d'une signature. Il espère toujours.

CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l'idée qu'il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser

CHAPITRE42
Il se laisse dormir un moment. C'est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d'une sueur froide.

CHAPITRE43
La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.

CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s'habituer à la mort. La visite de sa fille l'a poussé dans le désespoir.

CHAPITRE45
Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.

CHAPITRE46
La petite Marie vient de partir. Le père se demande s'il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifiez devant les yeux de sa fille.

CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de l'éditeur ; les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n'a pas eu le temps de les écrire

CHAPITRE48
Le condamné est dans une chambre de l'hôtel de ville. A trois heures, on vient l'avertir qu'il était temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l'exécution.

CHAPITRE49
Le condamné demande sa grâce à cette personne qu'il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu'on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu'on vient le chercher...

CANDIDE (Résumé Chapitre par chapitre)


Chapitre 2 : Candide enrolé par des recruteurs, Suite à son manque de moyen pour survivre, dut subir une punition à la suite d'une promenade interdite। Il a demandé la faveur du roi des Bulgares pour se faire casser la tete, et il se fit soigner par un grand chirurgien.

Chapitre 3 : Il est témoin d'une boucherie héroique entre les troupes arabes et bulgares, il déserte et découvre en Hollande l'intolérance।Mais il rencontra Jacques, un anabaptiste qui lui donna à manger et de l'argent.

Chapitre 4 : Candide retrouve Pangloss que la vérole à défiguré। Pangloss lui raconte la destruction du plus beau chateau, la mort de ses habitants et de Cunégonde. Candide et Pangloss sont recueillis par Jacques, qui les emmene au Portugal où il va commercer.

Chapitre 5 : Jacques périt au cours d'une tempete। Lorsque Candide et Pangloss arrivent à Lisbonne, la terre se met à trembler. Ils sont diffèrés à l'inquisition pour quelques discours suspect.

Chapitre 6 : On fait un bel autodafé pour empécher la terre de trembler। Pangloss est pendu Candide fessé.

Chapitres 7 et 8 : Soigné par une vieille Candide retrouve Cunégonde qui lui raconte son histoire।

Chapitre 9 : Cunégonde partage ses faveurs entre le juif don Issachar et le grand inquisiteur। Candide tue les deux amant de sa belle. Il s'enfuit avec Cunégonde et la vielle.

Chapitre 10 : Ils embarquent pour l'Amérique।

Chapitres 11 et 12 : La vieille pendant la traversé, leur raconte comment, fille d'un pape et d'une princesse elle est devenue servante et comment elle eut une fesse coupée।

Chapitre 13 : Les fugitif abordent à Buenos Aires dont le gouverneur s'éprend pour Cunégonde d'une violente passion। Candide recherché par la police doit fuir seul.

Chapitre 14 : En compagnie de son valet Cacambo, Candide se rend chez les jésuite du Paragay। Il retrouve le frère de Cunégonde.

Chapitre 15 : Celui-ci s'oppose au mariage de sa soeur avec Candide ( un batard). Candide fou de rage le tue.
Chapitre 16 : Fuite de Candide et de काकाम्ब
o au pays des oreillons qui s'appretent à les manger, mais leur font grace comme ennemis des jésuites।

Chapitres 17-18 : Ils arrivent dans l'Eldorado, pays ou tout va bien, richesse inouies, plein de diament, Désireux de retrouvé Cunégonde et de s'acheter un chateau।

Chapitre 19 : A Surinam, après avoir rencontré un noir victime de l'esclavage, ils se sépare। Cacambo part pour Buenos Aires, Candide volé par un négociant Hollandais, s'embarque pour l'Europe accompagné du philosophe Martin.

Chapitre 20 : La traversé se passe à discuter avec Martin qui pense que tout va mal।

Chapitres 21 et 22 : En France, Candide est dupé et volé। Il trompe Cunégonde à Paris avec une fausse marquise.

Chapitres 23 et 24 : Obliger de fuir, Candide et Martin embarque à Dieppe, longent les cotes anglaises et assistent à l'execution d'un amiral। Puis arrivent à Venise où ils rencontrent Paquette, ancienne servante de Cunégonde et amante de Pangloss, en compagnie d'un théatin, frere Giroflé.

Chapitre 26 : Pendant le carnaval, Candide soupe avec six rois détronés। Ils retrouve Cacombo, Cunégonde est esclave en Turquie.

Chapitres 27 et 28 : Ils partent pour Constantinople, reconnaissant parmis les galériens, Pangloss et le jeune baron "réssucité", qui raconte leur aventures।

Chapitre 29 : Candide rachete Cunégonde et la vieille। Il épouse Cunégonde devenu affreusement laide, malgrès le refus de son frere.

Chapitre 30 : Le jeune baron ayant été renvoyé aux galères, Candide achete, avec ses derniers diamants d'Eldorado une métairie. Tous sont réunis et à l'exemple d'un bon vieillard turc du voisinage, ils vont cultiver leur jardin.